Le Monstre de métal
Collection : NeO (Fantastique / SF / Aventure)
Éditeur : NOUVELLES EDITIONS OSWALD (NEO)
EAN : 9782730401999
Poids : 280 g.
Quatrième de couverture
Une aventure prodigieuse dans une vallée inexplorée du Tibet. Richard Drake et le docteur Goodwin, un botaniste, assistent à des phénomènes lumineux inexplicables et découvrent une colossale empreinte impossible à identifier. Puis les deux voyageurs rencontrent Ruth et Martin Ventnor qui fuient devant des poursuivants féroces et anachroniques. Sur le point d'être massacrés, ils sont sauvés par une jeune femme d'une beauté surnaturelle, accompagnée d'une sorte de monstre complexe fait d'un métal qui est inexplicablement vivant, mouvant, et qui tue ceux qui s'apprêtaient à massacrer les quatre jeunes gens. Ces derniers se lient d'une sorte d'amitié avec la jeune femme, Norhala, et ils comprennent bientôt que l'étrange monstre de métal vivant menace l'existence même de la race humaine sur la Terre. L'aventure qui se déroule alors est étrange, oppressante, pleine de rebondissements imprévus jusqu'à la conclusion, elle aussi, imprévisible.
Abraham Merritt est né en 1884 dans l'Etat de New Jersey (USA). « Curieux écrivain, aventurier, patron de presse et spécialiste des drogues hallucinogènes », ainsi que le décrit Jacques Bergier, il mourut en 1948 d'une crise cardiaque. Il fut, après Edgar Rice Burroughs, le principal fondateur de la science-fiction anglo-saxonne, plus particulièrement de la partie intitulée heroic fantasy. Parmi ses grands livres, certains comme Le gouffre de la lune, Les habitants du mirage et le présent Monstre de Métal sont plus proches de la science-fiction, d'autres, comme Sept pas vers Satan, La femme-renard, Rampe, ombre, rampe (tous trois parus dans cette même collection) ou encore La nef d'Ishtar, Le visage dans l'abîme et Brûle, sorcière, brûle !, tirent vers le fantastique. Merritt fut l'artisan d'une véritable révolution dans la fiction de mystère, outre-Atlantique, et son influence sur toute une génération de romanciers, de Lovecraft a Ira Levin, fut considérable. Jacques Bergier, dans son livre « Admirations » (Christian Bourgois), indique : « Certains critiques considèrent Le Monstre de Métal comme le livre le plus beau de Merritt. Il est en tout cas extraordinaire. »