Va Dinci coddah
Quatrième de couverture
Avec son sang, le mourant avait écrit une phrase en lettres rouges dégoulinantes. Cela ressemblait à une affirmation sanglante et cinglante : L'ÉCLISE GATHOLIQUE M'A TUER !
Durant de longues secondes, le docteur Robert Donglan observa le mystérieux message. — Voilà la raison pour laquelle nous vous avons dérangé si tard, docteur Donglan, dit Tache. Ce mystérieux message. — C'est peut-être une anagramme, suggéra Robert. — On y avait pensé, répliqua Tache. Pouvez-vous la déchiffrer ? Donglan sourit. — Bien sûr. C'est ma spécialité, affirma-t-il. Il essaya d'ajouter : « Mon nom en anagramme est : ton rang, bordel », mais au lieu de cela, il dit : — Mon nonanna... monana nanna... Et s'arrêta.
Ainsi commence l'histoire du plus grand complot de tous les temps. Avec la mort d'un conservateur renommé, un haddock d'un mètre enfoncé dans la gorge. Et c'est à un anagrammatologue de renom et une jeune et belle cryptologue de la police française qu'il incombe de mener l'enquête.
Le Va Dinci Coddah : un rnystère qui changera radicalement votre vision du monde et vous ôtera pour toujours l'envie de lire un autre livre.
La vraie raison du succès des romans de Don Brine est un secret que seuls tes Templiers, la CIA ou l'église des Apôtres des lendemains qui chantent venus de l'espace pour exterminer les libéraux (Alabama) détiennent. Curieusement, si ça peut vous intéresser, lorsqu'on traduit le nom de Don Brine dans l'alphabet cyrillique, qu'on le lit dans un miroir et qu'on traduit le résultat dans notre alphabet, cela donne une translittération d'Adam Roberts... en hébreu. Enfin, si vous plissez légèrement les yeux.