Inconscience-fiction
Quatrième de couverture
Inconscience-Fiction... ce lieu du récit où les enjeux politiques répondent plus de de conflits transversaux de réalité que des schémas éventés de la lutte des classes.
Inconscience-fiction... force manifeste du capitalisme « cool » cherchant à étendre indéfiniment les ramifications de son contrôle.
Inconscience-fiction... mais aussi force latente qui déborde toute les grilles par pure surabondance, sans stratégie globale ni hiérarchisée.
Inconscience-fiction... chevauchement entre les futurs « modèles sociaux » de la mobilité pulsionnelle, conflits qui ne s'inscrivent par sur les scènes politiques conventionnelles mais sur des configurations spécifiques que crée le récit.
Entre Dick, Spinrad, Jeury et Pinhas, entre les thèmes de la mort, des puissances psychiques et du tempos, Boris Eizykman nous montre le cheminement de cette face du possible : l'inconscience-fiction.