Les Vingt-quatre Portes du jour et de la nuit
Quatrième de couverture
Les habitants de Constantinople l’appelaient les Vingt-quatre Portes du jour et de la nuit. Ils aimaient le spectacle des automates qui franchissaient là-haut, à l’heure dite, le seuil des niches ouvertes dans le clocher des Saints-Apôtres.
L’homme qui lutte contre le sommeil, en ce lundi 18 juillet 2016, sur un banc du square Le Gall, dans le quartier des Gobelins, à Paris, est l’une des très rares personnes qui conservent encore aujourd’hui le souvenir de cette horloge, qui fut l’une des merveilles du monde. Elle est mêlée à son existence plus encore qu’il ne le pense. Il nous invite ici à partager l’aventure de cette journée qui changea le cours de sa vie.
Le roman évoque le temps qui nous traverse et sur les ruses que l’on invente pour domestiquer cette morsure intime, c’est aussi une histoire d’amour, la plus naïve et la plus subtile des ruses que l’homme a inventé d’opposer au temps qui passe.