Baltique(s)
Prix éditeur : 15,00 €
Collection : Je est ailleurs
Éditeur : MAGELLAN & CIE
EAN : 9782350746258
Parution : 30 avril 2021
Pagination : 176 p.
Façonnage : broché
Poids : 200 g.
Quatrième de couverture
Claude Vautrin, grand reporter et écrivain attaché à ses racines vosgiennes, a arpenté le monde. Ses reportages l’ont conduit dans les cinq continents, notamment sur des zones de guerre ou des territoires ignorés des medias tels la macumba au Brésil, où il a enseigné la littérature française, les Indiens Haïdas (Canada), les Mapuche (Chili), et récemment la Corée du Nord…
Les trois pays baltes ont exercé sur lui un charme qui l’a profondément ému.
« Où il est question de bonheur, d’amour, de silence, de chien, de chat, de droit, d’indépendance, de liberté, avec une ultime recommandation : “N’abandonne jamais”. »
POINTS FORTS DE L’OUVRAGE
1) La singularité de l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie, et leurs points communs.
2) Un récit de voyage en plusieurs étapes dans les trois pays baltes, mal connus mais très attachants.
3) Une identité commune, malmenée par les l’histoire, avec l’esprit de LIBERTÉ chevillé au corps.
Sommaire
Des pièces du puzzle manquaient. De la Baltique, de ses villes-ports, les accents allemands, scandinaves, polonais, finlandais, voire russes m’étaient devenus familiers. Une attirance insoupçonnée. Comme si je m’étais gardé au chaud celles qu’on nomme volontiers les Trois?Sœurs, les terres baltes de Lituanie, de Lettonie et d’Estonie. Pour mieux sans doute m’y livrer, le temps venu. Des lieux aussi troublants ne s’abordent pas sans retenue. Tant de drames s’y sont joués?: croisades, conquêtes, exterminations, occupations. La part obscure noircit les pages de l’Histoire. Mais des forêts, qui furent refuges et nids de résistance, naît une lumière qui mérite à coup sûr le détour. Si des vestiges de temps révolu s’y perdent, une belle énergie s’en dégage qui a su investir les anciennes cités ducales devenues capitales indépendantes, fières de leurs différences. L’esprit créatif y fait merveille. Dans cet entre-deux toujours sous la menace, les âmes baltes n’ont pas fini de nous surprendre. Elles m’ont, pour ma part, séduit.