L'Oncle Silas
Prix éditeur : 14,64 €
Collection : NéO Plus (policier / thriller ou fantastique / horreur)
Éditeur : NOUVELLES EDITIONS OSWALD (NEO)
EAN : 9782730405058
Pagination : 256 p.
Poids : 400 g.
Quatrième de couverture
A la mort de son père, un riche gentilhomme campagnard anglais, au milieu du XIX° siècle — « siècle des ténèbres » s'il en fut, malgré l'essor scientifique et technique qui occupe le devant de la scène — une jeune fille de dix-sept ans quitte le château ancestral pour rejoindre son oncle et tuteur, l'oncle Silas. Un mystère a toujours entouré la personnalité énigmatique de Silas mais, avant de partir, la jeune héritière aura appris qu'il fut jadis soupçonné d'un assassinat crapuleux : celui d'un vulgaire habitué des champs de courses, retrouvé égorgé sous son toit, dans une pièce hermétiquement fermée de l'intérieur... il avait toujours protesté de son innocence et aucune preuve n'avait finalement été retenue contre lui. Pourtant, depuis, il vivait en reclus dans son domaine délabré, au cœur d'un paysage d'une sauvage beauté. D'abord en proie aux plus sinistres pressentiments, la jeune Mathilde, sensible et délicate comme toutes les jeunes filles « bien nées » de son époque, reprendra lentement confiance, car son oncle, vieux et malade, semble lui témoigner de la bonté. Sa cousine Milly, une amusante sauvageonne, lui tient compagnie dans ses promenades champêtres. Mais des événements inquiétants ne vont pas tarder à se succéder et le lecteur devinera peu à peu qu'une effroyable machination est en train de se mettre en place. Mais il devinera seulement et le suspense durera jusqu'aux dernières pages, car Mathilde, elle, n'aura rien deviné... Roman gothique par le décor, le style et l'ambiance fantastique, L'oncle Silas est surtout un « thriller » avant la lettre. La grande romancière Elisabeth Bowen l'avait d'ailleurs qualifié, dans sa préface à l'édition anglaise de 1947, de « roman de terreur ». Roland Stragliati, pour sa part, parle de « chef-d'œuvre ».
Sommaire
- A propos de l'ongle Silas de ANONYME
- Préface de Roland STRAGLIATI