La Déroute des Droufs
Quatrième de couverture
Kenniof s’approcha et les vit : les dormeurs.
Pareils à des poissons, ils flottaient, immobiles et complètement nus, dans un liquide jaunâtre et huileux, chacun dans son alvéole ; les yeux fermés, le visage tourné tantôt vers le haut, tantôt vers le bas. Ils étaient innombrables. Les uns avaient les mains jointes, les autres avaient les doigts écartés, d’autres encore les avaient recroquevillés comme des griffes. Des mains d’ouvriers, de savants, d’hommes et de femmes.
Sommaire
- Le Dormeur de la C.I.B. de William VOLTZ
- Le Cas Colombus de Karl-Herbert SCHEER