Les Gardiens de la Pierre

Quatrième de couverture

Le monde de Loerem sombre dans le chaos. Dagnarus, prince du Vide, que l'on croyait mort depuis deux siècles, a rassemblé les forces du Mal. Il a avec lui une armée de guerriers taans, qui marchent comme des hommes, ont une force colossale, un faciès animal au long groin, une gueule débordant de crocs aussi tranchants que des lames de rasoir. Il veut à tout prix réunir les morceaux de la Pierre Souveraine, cadeau des dieux à toutes les races, humains, elfes, ores, nains, et assurer ainsi son pouvoir malsain. Et ses vrykyls, des créatures qu'il a privées de mort, sont chargés de les retrouver.

Depuis des années, un Seigneur des Portes, humain un peu fou, cherchait lui aussi le fragment de la Pierre perdu par sa race. Ce sera sa perte, car une ombre malsaine le suivait pas à pas.

Mortellement blessé, il doit trouver un nouveau gardien pour continuer sa tâche et rendre aux humains la Pierre salvatrice. Parmi tous les héros potentiels qui l'entourent, qui sera capable de porter ce dangereux fardeau ? Ce mercenaire Trevenici, guerrier éprouvé ; sa sœur Ranessa qui rêve de dragons ; son jeune frère Jessan qui veut trouver son nom d'homme ; ou bien encore Bashae le petit Pecwae, représentant de cette race minuscule et peureuse qui vit avec les Trevenici. Et pourquoi pas Wolfram, ce nain ronchon qui porte au poignet un curieux bracelet magique. En tout cas, pour chacun d'eux la route sera longue et périlleuse, car la traque s'organise.

Après Le Puits Ténébreux, Margaret Weis et Tracy Hickman, auteurs célébrés de la saga des Lancedragons et de bien d'autres épopées, continuent ici celle de la Pierre Souveraine, inspirée par un jeu et par l'univers du graphiste Larr Elmore, illustrateur de nombre de leurs livres. Un univers qu'ils enrichissent et développent à loisir, qu'ils remplissent d'humour, de bruit et de fureur, et de superbes visions poétiques.