Mandragore
Prix éditeur : 6,40 €
Collection : 10/18 - Domaine étranger
Éditeur : UGE (UNION GÉNÉRALE D'ÉDITIONS)
Pagination : 320 p.
Poids : 202 g.
Quatrième de couverture
Tout comme Achim Arnim et surtout Hoffmann, Hanns Heinz Ewers a été séduit par le mythe de la Mandragore, cette inquiétante Mandragore, « née des pleurs équivoques des pendus innocents ! » Ewers a pris de la légende ce qui l'intéressait et en a fait « une délicate et vénéneuse histoire d'amour... et de mort ». C'est fascinant, unique, intemporel, indéfinissable, au croisement du macabre et de la comédie, de l'immonde et de la pornographie. Un livre beau et terrible ! Jean-Marie Leduc Best 1970
Je ne sais ce que je dois aimer le plus dans cette histoire vénéneuse d'une petite ambiguë nommée Mandragore... Ce frêle androgyne est un des types de vamp le plus parfait que je connaisse, et le plus troublant sans doute. Car, Mandragore, dès sa naissance est d'une exemplaire perversité, un marquis de Sade en culotte petit Bateau menant à sa dévotion tout être, mâle ou femelle, qui l'approche, jusqu'à la folie, jusqu'à la mort même, en toute innocence et satisfaction de soi. Creepy
Sommaire
- Avant-propos de Pierre Mac ORLAN
- Hanns Heinz Ewers et les puissances noires de François TRUCHAUD