Octobre, octobres
Quatrième de couverture
« Il existait autrefois dans le Sud chantant un vent d'Octobre qui était néfaste à la santé ». Ce vent de révolte et d'écroulement qui souffle sur les vieux mondes de notre horizon. Dans les quinzes nouvelles qui composent ce recueil, on voit mourir les thanatocrates, les amis de la mort, tous les pouvoirs. On y voit aussi quelques personnes qui vont labourer les ruines. Sur le mode grave, ou triste, ou sur le mode joyeux de la parodie et de la fausse « politique-fiction » narquoise, voici le livre des grands naufrages.
Ne cours plus, vieux monde, les camarades sont devant toi avec leurs crocs-en-jambe...
Sommaire
- FREMION est mort de Bernard BLANC Marcel CACHIN
- Petite mort, petite amie de Yves FRÉMION
- Toreador, prends garde à l'oeil de Kierkegaard ! de Yves FRÉMION
- Il est plus de midi et le boulanger n'est pas encore passé de Yves FRÉMION
- Vivre, s'entend, mort... Jouir sans entrailles de Yves FRÉMION
- L'Omphalosite sur le bout du banc de Yves FRÉMION
- Comme dans du beurre de Yves FRÉMION
- Accoutumance de Yves FRÉMION
- Habeukeudeu heufeugueucheu... de Yves FRÉMION
- L'Humanité, dimanche de Yves FRÉMION
- Pestilence de Yves FRÉMION
- L'Homme immobile de Yves FRÉMION
- Le Tueur qui devançait son ombre de Yves FRÉMION
- Fais pas cette tronche de Yves FRÉMION
- Elizabeth qui me parle et rit et s'effondre sur mon épaule de Yves FRÉMION
- Octobre, octobres de Yves FRÉMION