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Acacia

La Guerre du Mein

de David Anthony DURHAM

La Guerre du Mein

Prix éditeur : 21,00 €

Collection : Fantasy

Éditeur : LE PRÉ AUX CLERCS

EAN : 9782842283421

Parution : 16 octobre 2008

Pagination : 679 p.

Quatrième de couverture

Acacia. Une île qui a donné son nom à un empire prospère gouverné par un souverain absolu, Leodan Akaran. Descendant direct du sorcier fondateur de la dynastie, Leodan est un roi idéaliste qui fait régner la paix dans la vaste mosaïque des peuples qui composent l'empire. Veuf, il vit entouré de ses quatre enfants à qui il cache un lourd secret : la domination d'Acacia repose sur des trafics de drogue et d'esclaves dirigés par la toute-puissante Ligue des marchands.

Tout bascule le jour où le roi est poignardé dans la salle du trône par un envoyé des Meins, un peuple de guerriers implacables exilés dans une lointaine forteresse du Nord.

Sur son lit de mort, Leodan conçoit un plan pour permettre à ses enfants de s'échapper, livrant ainsi chacun à sa propre destinée. Dispersés aux quatre coins de l'empire, Aliver, Corinn, Mena et Dariel sont animés par un puissant désir de vengeance. Ils vont partir à la reconquête du trône pour recréer un empire acacian à l'image de ce que leur père désirait.

Acacia est le premier volet d'une flamboyante épopée de fantasy épique. Dans la grande tradition des classiques du genre, pour sauver « leur » monde, les héros sont confrontés à un immense défi : concilier idéalisme et action afin de vaincre l'oppresseur.

David Anthony Durham donne un souffle très actuel à l'univers qu'il a créé, un monde cruel où le clivage entre nantis et esclaves semble creusé à tout jamais. Issu d'une famille afro-américaine, il est né en 1969 à New York. Devenu célèbre pour ses romans historiques primés à de nombreuses reprises, David Anthony Durham signe ici un grand roman.

« Des trahisons dans la salle du trône, des princes contraints de se cacher, des ancêtres resurgis de leurs tombeaux, des guerres de succession ? voilà un roman que Shakespeare lui-même aurait aimé avoir écrit. » James Patrick Kelly, prix Hugo

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