L'Observatoire
Quatrième de couverture
Une époque qui est peut-être la nôtre, un manoir délabré qui évoque l'Angleterre, des personnages qui ont du mal à s'assurer de la réalité de ce qui les entoure, et qui font le difficile apprentissage de la lucidité...
Pour ce premier roman, l'Anglais Edward Carey a surpris son monde. Des deux côtés de l'Atlantique la presse n'a pas eu assez de superlatifs à son endroit : on l'a comparé à Tolkien, à Mervyn Peake...
Opinion du romancier John Fowles (parmi bien d'autres) : "Sans conteste le roman le plus brillant qu'il m'ait été donné de lire cette année."