Les Hommes frénétiques
Quatrième de couverture
En 1925, lorsque parut ce livre, la critique unanime n'hésita pas à placer Ernest Pérochon aux cotés des plus prestigieux écrivains de la littérature d'anticipation, tels des Jules Verne, H.G. Wells ou Rosny Aîné. Ce jugement était déconcertant, surtout qu'il s'adressait à un auteur qui jusqu'alors s'était illustré par des romans de caractères champêtre dont un, « Nène » avait même obtenu le prix Goncourt en 1920 ! Et pourtant en écrivant « Les hommes frénétiques », Ernest Pérochon avait non seulement abandonné son univers habituel mais, pour beaucoup, il avait aussi dépassé les plus audacieuses inventions de ses devanciers... Evoquant les grands cataclysmes de la fin du monde à une époque où la science a atteint son apogées, ce livre contient en effet quelques-unes des pages les plus saisissantes, les plus démentes et les plus belles de toute le science-fiction française.
Sommaire
- Un homme frénétique de Anne BARONIAN