Confessions d'un automate mangeur d'opium
Prix éditeur : 16,77 €
Collection : Icares
Éditeur : MNÉMOS
EAN : 9782911618451
Parution : 1 octobre 1999
Pagination : 252 p.
Poids : 316 g.
Quatrième de couverture
Rappelez-vous Paris... 1899 ! La tour Eiffel se dresse au milieu du Champ-de-Mars, ses entrecroises d'aciers s'élevant tel un doigt inquisiteur pointé vers le ciel, un monument à la gloire de l'industrie moderne... Les fiacres et les usines gigantesques, la transition d'un monde aux traditions millénaires à l'emballement technologique... Et vous souvenez-vous des milliers d'aéroscaphes, ces étranges machines volantes qui bourdonnaient dans le ciel ? De tous ces automates cuivrés, toujours prêts à rendre service, et des images du téléchromo ? Non ? Alors vous allez découvrir un Paris du XIXème siècle comme vous ne l'avez jamais imaginé : une ville noyée dans le brouillard des moteurs à vapeur, un lieu sous l'emprise des grandes puissances de l'industrie et de la politique où la comédienne Margaret Saunders tente de percer le mystère qui entoure la mort de sa meilleure amie. Mais rien n'est simple quand on doit enquêter sur la fin tragique d'une jeune femme tombée du ciel et qui s'est écrasée sur le parvis de l'Opéra Garnier... Même avec l'aide de son demi-frère Théo, médecin dans un asile d'aliénés, Margo se heurte à un écheveau de mystères impossibles à démêler... Un savant fou, un poète fiévreux et une substance miraculeuse nommée l'éther, tels sont les ingrédients d'une sulfureuse potion que Margaret doit boire jusqu'à la lie... ou jusqu'à la folie...
Fabrice Colin et Mathieu Gaborit sont parmi les auteurs les plus prometteurs de la SF et de la Fantasy. Leurs ouvrages Vestiges d'Arcadia et Revolutsya les ont naturellement amenés à écrire ce roman steampunk, un genre littéraire qui dépeint un XIXème siècle imaginaire et trépidant, entre Jules Verne et Dickens, où la science s'allie au merveilleux.