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Le Rêve du démiurge

Le Petit cabaret des morts

de Francis BERTHELOT

Le Petit cabaret des morts

Prix éditeur : 15,00 €

Collection : LE BÉLIAL'

Éditeur : LE BÉLIAL'

EAN : 9782843440892

Parution : 4 décembre 2008

Pagination : 256 p.

Poids : 290 g.

Quatrième de couverture

Eté 1988.

 

À Viervy, petite ville des Alpes, Yorenn et Romain Algeiba, sœur et frère acrobates, se vouent une passion excessive...

 

À Viervy, lieu de heurt du monde réel et de l’au-delà, vit Alvar Cuervos, fils d’un démon et d’une bohémienne, assistant du secret docteur Malejour.

 

À Viervy, l’amour qui naît entre Alvar et Yorenn, opposés à tout point de vue, engendre le drame : la jalousie destructrice de Romain, le délire de Malejour aveuglé par science et pouvoir, la duplicité d’Alvar, les violences de Yorenn déchirée entre des idéaux contraires, tout se ligue contre eux — et d’abord eux-mêmes.

 

À Viervy, les âmes des morts sont l’enjeu du conflit qui divise les vivants. La guerre s’installe, tributaire des passions des uns et des autres.

 

À Viervy, le merveilleux spectacle qu’Alvar monte dans son Petit Cabaret ne livre rien au public du drame qui se joue en coulisse. Combat des vivants contre les vivants, des vivants contre les morts, des morts contre les morts, l’affrontement finit par s’étendre aux forces telluriques...

 

Francis Berthelot est né à Paris en 1946. Polytechnicien, docteur en biologie moléculaire, puis chercheur dans le domaine de la théorie littéraire, il a obtenu le Grand Prix de l’Imaginaire à quatre reprises et, fait unique, dans quatre catégories différentes — dont celle du meilleur roman pour Rivage des intouchables, chez Gallimard « Folio SF ».

 

Le Petit Cabaret des morts, qui s’inscrit dans l’immense fresque littéraire du Rêve du démiurge, est son onzième roman.

 

« Francis Berthelot réussit l’improbable alchimie de la dureté et de la poésie... » Bifrost

 

« Francis Berthelot cisèle son sujet avec une maîtrise de la langue diabolique. Il nous emmène dans un carrousel maléfique qui, à la fois, distille un malaise insidieux et déverse des images d'un romantisme exacerbé. Une réussite. » Jean-Claude Vantroyen, Le Soir

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