Seule sur le Transsibérien
Prix éditeur : 12,90 €
Collection : Voyage en poche
Éditeur : TRANSBORÉAL
EAN : 9782361571061
Parution : 1 février 2016
Pagination : 368 p.
Façonnage : broché
Quatrième de couverture
C’est par le légendaire Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de renouer avec la Russie. Dans les gares où elle fait étape et lors de ses échappées dans la steppe ou la taïga, la voyageuse croise des gens d’horizons divers – cheminots, étudiants, militaires, chasseurs, pêcheurs, anciens déportés ou nouveaux riches –, tous réunis dans la vie du train, dont elle emprunte les trois classes. Après 10 000 kilomètres de l’Oural à l’Amour en passant par les rives du lac Baïkal, l’auteur atteint l’océan Pacifique. Quatre mois d’enchantement, à goûter les zakouskis et le charme des conversations, à contempler l’infini des paysages, à visiter les villes de Sibérie et à vivre sous le regard attentionné des chefs de wagon pour, enfin, faire siens les mots de Tolstoï : « Est seul vivant celui qui aime. »
Sommaire
Avant-propos – MoscopolisPrélude à l’aventure – Le droit de rêver
I. L’appel de la Sibérie
1. Point de départ : Moscou, mai 2004
2. Train de 17 heures 06 pour Ekaterinbourg, 1 816 km
3. Train de 19 heures 06 pour Novossibirsk, 3 335 km
4. Train de 14 heures 20 pour Krasnoïarsk, 4 098 km
5. Vedette de 8 heures pour Ienisseïsk, 400 km
6. Train de 4 heures 19 pour Taïchet, 4 516 km
II. Du Baïkal à Vladivostok
1. Train de 11 heures 35 pour Irkoutsk, 5 185 km
2. Bus de 8 heures 10 pour l’île d’Olkhon, 5 500 km
3. Train de 16 heures 56 pour Oulan-Oudé, 5 642 km
4. Train de 10 heures 26 pour Khabarovsk, 8 521 km
5. Train de 12 heures 20 pour Vladivostok, 9 288 km
III. Le retour
1. Train de 20 heures 11 pour Moscou, 9 288 km bis
Épilogue – Un thé avec lady L.
Postface – Quand le rideau tombe
Florilège sur la Russie et le Transsibérien
Petit guide du Transsibérien
Pour approfondir le sujet