L'État des arts
Quatrième de couverture
Anarchiste et pacifique, la Culture n'est pas une civilisation galactique comme les autres. Au gré de son exploration de l'univers, elle décide, suivant l'avis de ses Envoyés, d'entrer en contact ou, au contraire, d'ignorer les peuples qu'elle rencontre. Si un vaisseau de Circonstances Spéciales, une branche de Contact, s'approchait de la Terre, que ferait-il ? Entrerait-il en relation avec notre espèce, où repartirait-il en direction d'un autre système solaire sans que nous n'ayons jamais rien su de sa visite ? Autrement dit : l'Homme mérite-t-il le détour ? Notre civilisation a-t-elle une quelconque valeur ? Notre culture peut-elle inspirer l'admiration de ces Etrangers qui ont déjà tout vu ?
Bien qu'il soit possible de le lire indépendamment du reste de l'œuvre de Iain M. Banks, L'état des Arts, vient enrichir le « Cycle de la Culture » publié dans la collection « Ailleurs et demain » (Robert Laffont). Les lecteurs de L'usage des armes retrouveront d'ailleurs ici Diziet Sma, confrontée à l'étrange fascination d'une planète à la fois infiniment barbare et séduisante : la notre.
En Grande Bretagne, Iain M. Banks est aussi célèbre pour ses romans de Science-Fiction que l'est un certain Iain Banks pour ses romans de littérature générale ! Les uns comme les autres figurent régulièrement dans les listes de best-sellers. Véritable phénomène éditorial, Iain (M.) Banks est le plus brillant et le plus populaire des écrivains de la nouvelle génération d'auteurs britanniques.