Marilyn désossée
Quatrième de couverture
J'aime trop la langue.
Celle aux 18 muscles.
Je la veux contorsionniste.
Qu'elle parle un français animal.
Qu'elle claque aux oreilles, moite et sauvage. Et que les mots flaquent du stylo.
Comme un alcool de corps.
Oui, l'écriture, comme un alcool de corps.
MARILYN DÉSOSSÉE...
Je crois que j'ai écrit un road-movie traversant la vie d'une fille, Marilyn Turkey, qui aimerait bien être et homme et femme, puis animaux et quelque chose de végétation.