Bonne vieille Terre

Quatrième de couverture

Eh bien, il y a les deux soeurs (Smonny et Spanchetta) qui sont maîtresses du même homme (Namour) et, de surcroît, amoureuses d'un même autre homme (Scharde). Et ces quatre-là sont des Clattuc. Quelle famille !

Un beau jour, Scharde en a assez. Il en épouse une autre. Ils ont un beau petit garçon, Glawen, qui a bien des choses à découvrir. Vingt ans passent. Glawen devient enquêteur, comme tous les Clattuc. En outre, il s'intéresse à diverses filles, dont la jolie Wayness.

Le vrai dérapage commence là. Le père de Glawen disparaît. Quant à Wayness, elle fausse compagnie à son soupirant pour aller faire un tour sur la bonne vieille Terre. Que s'est-il donc passé ?

Bref retour en arrière. Les agents de la Société Naturaliste découvrent une planète si belle qu'ils l'achètent et en font une réserve naturelle. Pas de colons, sauf quelques préposés pour protéger l'environnement. Mille ans passent. Les descendants des préposés sont encore là, mais ils ont pris leurs habitudes. La merveilleuse utopie a engendré une drôle de nomenklatura. Et là-bas, sur la bonne vieille Terre, on dit que la Société Naturaliste a un peu négligé sa tâche. Selon les mauvaises langues, elle aurait même perdu le titre de propriété de sa planète !

Voilà pourquoi Wayness se retrouve sur la Terre, ce monde déclinant aux charmes un peu décatis, lieu des aventures les plus picaresques et des traquenards les plus faramineux car Wayness n'est pas la seule à chercher la charte qui assurerait à son possesseur le contrôle d'une planète vierge.

Bientôt elle sera encore moins seule, car Glawen arrive. Va-t-il retrouver la fille qu'il aime ? Vont-ils retrouver les documents perdus ?