Requiem pour une planète
Prix éditeur : 19,82 €
Collection : Univers sans limites
Éditeur : PRESSES DE LA CITÉ
EAN : 9782258033009
Parution : 27 mars 1992
Pagination : 288 p.
Poids : 431 g.
Quatrième de couverture
Que d'ignominies ! de crimes ! de chantages ! de complots ! Que d'humiliations... de terreurs... de souffrances... d'agonies... Soltan Gris, l'ignoble agent de l'Appareil, est enfin sous les verrous. Il avoue le complot qui visait à saboter la Mission Terre. Son propre chef, Lombard Hisst, réclame sa tête... et se fait couronner empereur au passage. Le camp du Mal a sacrifié un pion et peut-être gagné la partie. Alors Jettero Heller, parti de la lointaine Calabar, donne l'assaut à la planète Voltar, centre du pouvoir galactique. Pourra-t-il en restituer le trône au prince Mortiiy, héritier légitime de Cling le Hautain ? S'il y réussissait, comme la victoire serait amère ! A Voltar, on s'était posé une seule question : quel est le meilleur moment pour envahir la Terre ? Et justement, c'est la Terre qui a presque anéanti Voltar avec ses drogues, ses « public relations », ses psychiatres et ses gouvernements pourris. On sait désormais qui est l'envahisseur. A mort la Terre ! crie le peuple voltarien. Une interpellation que Jettero Heller, tombé amoureux de notre monde bleu, ne pourra pas ignorer longtemps. Voici le terme d'une saga furieuse. Avec d'autres explosions, d'autres renversements. En attendant l'explication ultime qui laissera, comme souvent, une note harmonieuse et douce-amère de regret. Parce que plus tard... ?
L. Ron Hubbard est l'un des écrivains les plus acclamés et les plus lus de notre temps. Au sommet de son talent, il nous offre avec Mission Terre une dékalogie à couper le souffle qui a déjà pris rang parmi les grands classiques. Une action rapide comme l'éclair, un formidable suspense, des pointes d'humour noir, un style nerveux et vivifiant qui stimule l'imagination et subjuguera le lecteur.
« Vous allez en perdre le sommeil. » Orson Scott Card
« Un style et une verve dignes de la grande littérature. » A.E. Van Vogt
« Une merveilleuse satire. » Anne McCaffrey