Requiem pour une planète

Quatrième de couverture

Que d'ignominies ! de crimes ! de complots ! Que d'humiliations... de terreurs... de souffrances... Soltan Gris, l'ignoble agent de l'Appareil, est enfin sous les verrous. Son propre chef, Lombar Hisst, réclame sa tête... et se fait couronner empereur au passage. Le camp du Mal a sacrifié un pion et peut-être gagné la partie. Alors Jettero Heller donne l'assaut à la planète Voltar, centre du pouvoir galactique. Pourra-t-il en restituer le trône au prince Mortiiv, héritier légitime de Ching le Hautain ? S'il réussissait, comme la victoire serait amère ! A Voltar, on s'était posé une question : quel est le meilleur moment pour envahir la Terre ? Et c'est la Terre qui a presque anéanti Voltar avec ses drogues, ses psychiatres et ses gouvernements pourris. A mort la Terre ! crie le peuple voltarien. Une interpellation que Jettero Heller, tombé amoureux de notre monde bleu, ne pourra pas ignorer longtemps. Voici le terme d'une saga furieuse. En attendant l'explication ultime qui laissera, comme souvent, une note harmonieuse et douce-amère de regret... Parce que plus tard... ?

Une version S.-F. des Aventuriers de l'Arche Perdue, avec des rebondissements imprévus, des personnages mirobolants, de la satire cinglante, un humour énorme. L. Ron Hubbard a beaucoup navigué sur les sept mers avant de nous entraîner dans cette course intersidérale. Un roman qu'on ne veut plus lâcher et... LA PLUS GRANDE DÉKALOGIE DE SCIENCE-FICTION JAMAIS ÉCRITE.