L'Espoir fait vivre
Prix éditeur : 23,30 €
Collection : Seuil Policiers
Éditeur : SEUIL
EAN : 9782020992121
Parution : 20 janvier 2011
Pagination : 517 p.
Poids : 558 g.
Quatrième de couverture
Entre James Bond et Indiana Jones, le héros de Lee Child réussit la prouesse d’être à la fois admirable, crédible et sympathique. Et ses aventures bondissantes ont l’énergie et l’éclat des histoires de super-héros que l’on dévore avec un plaisir instantané, toujours renouvelé. Reacher a 46 ans, 13 années de service à la police militaire, il en est sorti 10 ans plus tôt avec le grade de major. Depuis, il mène une vie de nomade, aux quatre coins des États-Unis, et ne loue ses chambres que pour une nuit, soucieux de préserver à tout moment « la liberté absolue de partir ».
La seule chose qui puisse le retenir, c’est qu’on lui demande précisément de quitter les lieux… Dans ce petit bourg nommé Despair (littéralement : « désespoir »), au fin fond du Colorado, les habitants sont peu amènes : sitôt entré dans un café on lui demande de partir sous prétexte que « les étrangers sont interdits ». Intrigué, Reacher rebrousse chemin jusqu’au bourg voisin de Hope (« espoir »), où il sympathise avec une policière locale et s’intéresse à l’énorme usine de retraitement des métaux (déchets radioactifs) qui assure la quasi-totalité des emplois de Despair. L’usine est gérée par Thurman, véritable autocrate local.
Au cours d’une exploration nocturne du désert avoisinant, Jack découvre le cadavre d’un jeune homme apparemment mort de soif. Lorsqu’il revient sur les lieux, le corps a disparu.