Puisqu'il faut l'appeler par son nom
Quatrième de couverture
Oui, c'est bien de la peste qu'Il s'agit, du « mal qui répand la terreur ». Mais on a fait quelques progrès depuis le bonhomme La Fontaine. La peste, maintenant, ça se fabrique en laboratoire, ça se vend comme des armes... et ça s'attrape comme un rhume, le temps d'éternuer et de dire : « Dieu vous bénisse!.. ».
Moi, Marc Avril, barbouze tous-azimuts, sans foi ni loi, sans feu ni lieu, sans dieux ni maîtres, je vous emmène, si vous voulez, faire une drôle de balade sur la piste de la peste. On va voir du pays, je vous préviens : Rome, Beyrouth, le désert de Syrie, les montagnes kurdes, un petit survol de Damas, un grand piqué au-dessus de la frontière israélienne, et, pour faire bon poids, une croisière sur la mer Morte, en bateau-amphibie, s'il vous plaît !
Si ça vous tente, embarquez vite et n'oubliez pas d'attacher vos ceintures, parce que ça va danser, je vous le promets ! C'est une croisière signée « Marc Avril »... puisqu'Il faut l'appeler par son nom.