Comme le fantôme d'un jazzman dans la station Mir en déroute
Quatrième de couverture
« On n'avait pas des masses d'alternatives, Karen et moi, quand on a décidé de voler l'État qui essayait de nous voler nos vies. »
Le long d'une autoroute qui file vers le sud, au son d'un saxophone kamikaze, la cavale hallucinée d'un couple atteint par un étrange neurovirus qui connecte leur cerveau à la station Mir et à son Ange Gardien, le jazzman Albert Ayler. Un voyage au-delà de la réalité et de l'infini, entre états altérés de la conscience et phases de réadaptation.
Un Dantec à tombeau ouvert, dans la veine de Babylon Babies ou de La Sirène Rouge.