L'Empereur de métal

Quatrième de couverture

Etrange épidémie. Les plus éminents représentants de l'élite galactique tombent, tout à coup, dans un état de prostration absolue et ne vivent plus qu'à l'état larvaire. Le chevalier Coqdor, lui aussi, est victime de ce désastre. Mais que deviennent donc les esprits de ces gens d'un ordre supérieur à la moyenne ? Désincarnés, ils sont entraînés dans un monde lointain, inconnu, un quasar peut-être, où ils sont curieusement « inmétallisés », c'est-à-dire incorporés dans des robots conçus pour être animés par la pensée humaine. Coqdor et ses compagnons d'infortune sont au pouvoir d'une Puissance incompréhensible, qui semble vouloir créer un monde d'immortels, tendant vers une perfection absurde, un super-Cosmos. Et le chevalier lui-même se voit offrir, dans son corps androïde, de devenir l'Empereur de Métal qui régnera éternellement. Déjà, la nature reprend le dessus. Deux robots s'aiment, malgré leur inhumanité. Deux androïdes enfermant l'âme d'un homme et celle d'une femme. Deux êtres qui, par ce comportement, déroutent les desseins de la Puissance. Et Coqdor, pour vaincre le fantastique adversaire, osera aller jusqu'à prendre la nature de l'ordinateur géant qui domine le monde de métal, jusqu'à risquer son propre salut pour imposer la révolte de la vraie destinée de l'homme...