N'insistez pas, Layton !
Quatrième de couverture
Je m'agenouille près de la dormeuse et je murmure :
- Marion, Marion, mon amour...
Elle soulève ses paupières, a un sur-saut, met quelques secondes à passer du sommeil à l'état de veille, allume sa lampe de chevet, me regarde. Je lui souris.
- Marion chérie...
Je me penche pour embrasser son épaule nue et j'ai le sentiment qu'un attentat terroriste fait sauter l'hôtel au même instant. Je me retrouve à plat ventre, le nez dans la fourrure du tigre servant de descente de lit. Je me redresse péniblement, les idées un peu mélangées par le coup reçu sur la tête. Je ne comprends pas exactement ce qu'il m'est arrivé.