L'Homme qui trahit la vie
Prix éditeur : 5,30 €
Collection : Pocket SF
Éditeur : POCKET
EAN : 9782266044127
Parution : 1 mai 1991
Pagination : 224 p.
Poids : 144 g.
Quatrième de couverture
Votre femme est morte. Vous ne la revoyez qu'en songe. Et vos nuits n'ont rien de gai... Il y a bien MEDIUM, la machine qui, dit-on, permet de communiquer avec les trépassés. Difficile à croire. D'ailleurs l'inventeur n'est pas un philanthrope. S'il n'en voulait qu'à votre argent, vous payeriez pour affronter ces entités mystérieuses qui ont l'éternité pour souffrir ou pour trembler. Mais quelque chose vous dit qu'il veut plus. De tous temps, on a su réduire les hommes en esclavage, et l'on a essayé de les remplacer. Des prolétaires et des machines, tel était le programme de Jay Gould et autres requins de la finance. Pour eux-mêmes, ils rêvaient d'immortalité. Pourtant ils sont morts depuis un siècle. A moins qu'on ait trouvé LA solution. Celle qui ferait des vivants les suJets des morts.
Philip José Farmer est devenu célèbre en introduisant l'érotisme au sein de la S-F. américaine, traditionnellement pudibonde. Un érotisme teinté de préoccupations éthiques : le héros farmérien traverse des épreuves et en sort grandi ou parfois diminué (version comique). Tout le monde ne peut pas être un titan !