Et cette porte, là-bas, qui se fermait...
Prix éditeur : 11,00 €
Collection : Novellas
Éditeur : ARGEMMIOS
EAN : 9782953023954
Parution : 20 octobre 2009
Pagination : 116 p.
Poids : 154 g.
Quatrième de couverture
Orphée écrit, pour lui-même et pour un journal, où il signe une chronique quotidienne. Eurydice est professeur de lettres. Il boit, elle fume. Il est jaloux, elle aime se sentir libre. Dans le labyrinthe de leur vie commune, des portes s'ouvrent et se referment, innombrables, et nul ne saurait dire si elles les conduisent vers les Enfers ou si elles les en ramènent ; si, à travers elles, ils se retrouvent ou se perdent encore. Par la magie des archétypes, on entre dans l'intimité de ce couple, que le regard particulier de l'auteur arrache à toute banalité. Sans jamais quitter les contours oniriques du mythe, on observe les gestes des amants, décomposés, ralentis, magnifiés. La vie, l'amour, les malentendus passent sous le microscope. Une œuvre atypique, riche en références et clins d’œil semés çà et là comme autant de petits pétards, qui écorchent le mythe sans jamais l'abîmer vraiment.
Pierre Gévart est un explorateur de l’écriture. De l’ouvrage universitaire au recueil de poèmes, en passant par le théâtre, les récits pour enfants ou les romans de science-fiction, il signe sous son nom mais également sous plusieurs pseudonymes, dont Hugo van Gaert, ce qui le rend multiplement prolifique. Sociétaire de la SACD, Pierre est le président du festival de théâtre lyrique Les Malins Plaisirs de Montreuil (Pas-de-Calais). Fondateur du fanzine Géante Rouge, du Prix Pépin, organisateur par deux fois de la Convention Nationale Française de SF, qui s’est ainsi tenue à Bellaing (Nord) en 2006 et 2009, il est, depuis mai 2008, le rédacteur en chef de la revue Galaxies.