La Cité des asphyxiés
Quatrième de couverture
Un bourgeois du XXème siècle est projeté dans l'espace-temps II se retrouve dans une ville crépusculaire et suffocante : LA CITE DES ASPHYXIES. Un monde souterrain, un monde à l'envers. Ici-bas les philosophes passent leur temps à résoudre des mots croisés, la tenue de soirée est de rigueur pour les bagnards, les musiciens sont sourds et les peintres aveugles, les fontaines ne distribuent pas d'eau, mais de l'air...
Régis Messac fut un précurseur et un visionnaire. Son essai « Le Détective Novel et l'influence de pensée scientifique » lui valut le titre de Docteur ès-lettres. Essayiste, pacifiste, anarchiste, il se consacra, entre les deux guerres, au roman. Il mourut quelque part en Allemagne, au début de l'année 1945, dans un camp de déportation. Aujourd'hui, en découvrant ses deux chefs-d'œuvre oubliés : QUINZINZINZILI et LA CITE DES ASPHYXIES, chacun mesurera l'importance de cet écrivain qui est sans doute, en France, l'un des deux ou trois maîtres de la Science-fiction et qu'il faut ranger aux côtés de Wells, Aldous Huxley, Van Vogt et Howard.