La Bannière du dragon

Quatrième de couverture

Le Maître en personne, Ba'alzamon, préside l'assemblée de ses fidèles : la Dernière Bataille s'annonce, le Jour du Retour est proche et le Ténébreux savoure d'avance l'avènement imminent de la Nuit Éternelle. L'un des compagnons – Rand, Mat ou Perrin – est le Dragon Réincarné, mais prudence ! Il peut encore se convertir à la cause de l'ombre et trahir les Aes Sedai, qu'il avait autrefois conduites à la victoire ; le mieux est l'ennemi du bien ; il ne faut pas jouer avec les prophéties.

D'ailleurs Rand doit sa puissance au Cor de Valère et l'instrument magique disparaît dans des circonstance dramatiques. Les compagnons vont le chercher jusqu'au port de Falme, où les Seanchans, venus de l'autre rive de l'océan, ont anéanti toute résistance grâce aux terribles « sul'dams ». C'est là aussi que les deux belles, Egwene et Nynaeve, victimes d'une traîtrise, sont retenues prisonnières. Rand et ses amis sont cinq pour affronter toute l'armée ennemie, bientôt rejointe par les Amis du Ténébreux. Alors, à l'assaut, et pas de quartier !

James Oliver Rigney, né en 1948 à Charleston (Caroline du Sud), initié par son père à la chasse et à la pêche, élève de la Citadelle, médaillé au Viêt-Nam et revenu vivre dans sa ville natale, est un Sudiste comme on n'en fait plus. Il a commencé en 1977 une carrière d'écrivain qui, à travers le roman historique (pseudonyme : Reagan O'Neal) et le western (pseudonyme : Jackson O'Reilly), l'a conduit en 1986 à la fantasy (pseudonyme : Robert Jordan).