Cinépolar
Quatrième de couverture
Dans un bar de Hollywood, un type flanque sous mes yeux une avoine à sa petite amie. Apparemment, tous les clients comptent sur moi pour intervenir. Ce que je fais. J'ai la carrure, faut dire. Peu après, la fille se pointe chez moi. Terrorisée, elle a fui sans prendre manifestement le temps de faire ses valises. Car, sous son manteau, elle ne porte qu'un bikini. Fantasmes ? Maladie de la persécution ? Au début, c'est ce que je croyais. Je devais par la suite me rendre compte que les fous, ça court les rues et les studios de cinéma.