Cadillac Beach
Prix éditeur : 10,65 €
Collection : Rivages/Noir
Éditeur : RIVAGES
EAN : 9782743622572
Parution : 24 août 2011
Pagination : 424 p.
Poids : 226 g.
Quatrième de couverture
Serge Storms s’évade de l’hôpital psychiatrique où il est enfermé et retrouve son pote Lenny, invétéré fumeur de haschich et glandeur de première. Tous deux décident alors de monter leur propre entreprise : une agence de voyages qui propose aux touristes de découvrir Miami à travers les décors de films tournés dans la région.
Serge en profite pour dresser une liste assez improbable de choses qu’il doit mener à bien : résoudre le mystère de son grand-père bookmaker disparu en 1964, humilier Castro, rendre sa fierté à la CIA, décimer la Mafia, aider la Chambre de commerce de Miami, retrouver des diamants volés… et faire revenir l’émission Today à Miami. S’engage alors une folle virée tragi-comique à bord d’une limousine où s’entassent pêle-mêle un journaliste sportif alcoolique, deux prostituées qui répondent aux sobriquets de Campagne et Ville, quatre touristes paumés et un vieux castriste.
Poursuites infernales, faux tournage de cinéma, fusillades, traquenards et coups fourrés en tout genre, tel est le menu composé par Tim Dorsey pour ce road trip allumé, où se croisent Cassius Clay, les Beatles, la Mafia, le FBI et la CIA, Flipper le dauphin, Goldfinger et des réfugiés cubains.
Dans son sixième roman, aussi inénarrable que les précédents, l’Américain Tim Dorsey dresse un portrait ravageur de la Floride des années 2000. Mené à un rythme effréné et soutenu par une écriture jubilatoire, Cadillac Beach n’est pas sans rappeler Florida Roadkill (Rivages/Noir n° 476) ou Triggerfish Twist (N° 705), et dans lesquels le personnage de Serge dévoilait déjà son grain de folie et sa passion destructrice pour le Sunshine State.
« Impertinent, violent, plus éclatant qu’un coucher de soleil sur les Keys, le Barnum de Tim Dorsey est carrément comique. »
New York Times Book Review
« Loufoques et déjantés, les polars de Tim Dorsey ne sont pas sans rappeler ceux de Carl Hiaasen. »
Livres Hebdo