Supplices vaudous
Quatrième de couverture
De l'autre côté du lit, sur une natte tressée, gisaient les deux corps mutilés des Cudjoes. On les avait découpés vivants, morceau par morceau, après les avoir proprement écorchés. Ce genre de supplice prenait des heures et obéissait à un rituel complexe permettant à la victime d'assister à son propre dépeçage sans mourir ni même perdre conscience avant qu'il soit achever.