Henri LOEVENBRUCK
Henri Lœvenbruck est né à Paris. Il vit à présent à Colombes, dans la banlieue parisienne. Journaliste, musicien et écrivain, il a fondé Science-Fiction Magazine avec son ami Alain Névant avant de se consacrer pleinement à l’écriture. Après avoir tenu le poste de rédacteur en chef de ce magazine pendant trois ans, il se consacre désormais à l’écriture de romans et de scénarios pour le cinéma, avouant son penchant pour la Fantasy qui l’a fait connaître comme écrivain, et surtout aujourd’hui comme l’un des maîtres du thriller.
Henri Lœvenbruck, qui s’adresse avec passion au plus vaste public possible, est l’un des auteurs français les plus vendus aujourd’hui dans le domaine de la fantasy, qu’il s’agisse de ses deux trilogies La Moïra ou Gallica qui rencontrent un succès inédit pour un auteur français (La Moïra dépasse en France les 250.000 exemplaires, toutes éditions confondues, et les droits ont été vendus dans douze pays). Gallica s’inscrit dans le renouveau de la fantasy française, qui n’hésite plus à puiser désormais, pour le plus grand bonheur des lecteurs, aux sources de l’histoire nationale… Lecteurs qui le plébiscitent, comme le confirme encore le Prix Imaginales des lycéens 2008, qui lui a été décerné pour la réédition de l’intégrale de La Moïra.
Quant à sa passion pour le thriller, elle se nourrit de thématiques bien connues des amateurs d’imaginaire comme le démontre Le Syndrome Copernic. C’est aujourd’hui cet autre romanesque qui lui donne sa notoriété au point que Le Nouvel Observateur l’a qualifié de nouveau maître du thriller français. Les aventures d’Ari Mackenzie, dans Le Rasoir d’Ockham et Les Cathédrales du vide, ont le grand mérite de bénéficier d’une connaissance pointue de sujets souvent peu connus du grand public et qui nourrissent l’imaginaire de l’auteur comme le laissent penser les remerciements appuyés de l’auteur à ces fonctionnaires des renseignements qui m’ont demandé de ne pas les nommer mais qui se reconnaîtront.
Depuis un vol plané sur sa Ducati 944 (alors qu’il se rendait aux Imaginales, en 2005 !), Henri Lœvenbruck remercie chaque lever de soleil et trouve un sens nouveau à son envie d’écrire.